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Plus de 4000€ de dons récoltés lors de la soirée BrAin Curio'City

Crédit photo / Clémence Bajeux
Crédit photo / Clémence Bajeux

Le samedi 9 Octobre dernier, la salle Le Bateau Lyre au Barp accueillait un événement unique dans le Val de l’Eyre et en Gironde : Brain Curio’City. Retour sur une journée montée de toutes pièces par Clémence Bajeux au profit de la recherche médicale autour du BPAN. 

 

Près de 400 personnes se sont rassemblées dans la salle Le Bateau Lyre au Barp samedi dernier. Venus passer un moment de convivialité et de festivités, les visiteurs furent accueillis par une présentation de l’existence de cet événement Brain Curio’City à savoir, encourager la recherche autour du BPAN. Cette initiative, c’est l'œuvre de Clémence Bajeux. Pour sa fille Maéline, touchée par cette maladie neurodégénérative, mais aussi pour les autres familles vivant le même combat, la jeune maman a orchestré cet événement d’une main de maître. Pour se faire, de multiples animations figuraient au programme, de quoi séduire largement les centaines de curieux. 

 

Concert, spectacle de magie, spectacle de danse ont rythmé l’après-midi, sans oublier la projection du court-métrage de l’organisatrice elle-même “Elle s’appelle Maéline”, dont la séance de rattrapage est disponible sur Youtube pour les retardataires

Avec de multiples lots mis en jeu dans une tombola par des partenaires de tous horizons, les plus chanceux ont pu récupérer leur gain, remis avant la fermeture provisoire des portes. 

 

Si l’après-midi avait déjà réussi à conquérir les visiteurs, la soirée fut tout autant une réussite. Concert, danse, humour et mentalisme se sont succédés sur la scène de la salle du Bateau Lyre. Dans une ambiance plus que chaleureuse et festive, les rires et sourires se lisent sur le visage des invités, séduits par le mariage de la musique et du divertissement. 

 

Entre festivités et charité, l’événement Brain Curio’City a permis de récolter dans sa totalité 4110€ pour la recherche contre le BPAN. Une belle réussite pour une première qui a demandé à son organisatrice beaucoup de temps et d’audace. Les visiteurs, conquis, ne diraient pas non à une deuxième édition… 

Louna Lavergne